En l’absence de lois actives sur la protection de l’enfance, de nombreux enfants en Mauritanie souffrent d’esclavage moderne, dont le travail des enfants est l’une des formes les plus répandues.
Les causes du travail des enfants sont dues à des facteurs tels que : le facteur économique représenté par les motifs du besoin financier.
Le facteur éducatif est évident dans la propagation de l’analphabétisme, ce qui signifie que le manque d’éducation conduit à l’ignorance des dangers et des effets négatifs de ces actions.
Le facteur social, qui est le terme pauvreté, car la pauvreté et le faible niveau de vie de la famille obligent leurs enfants à travailler pour gagner un revenu qui leur permet de subvenir à leurs besoins et à leurs moyens de subsistance qu’ils ne sont pas en mesure de subvenir, de sorte que l’enfant devient une victime.
Des plusieurs risques causés par les circonstances qui l’entourent.
Certaines statistiques supervisées par le ministère mauritanien des Finances et de l’Économie 2015-2020 indiquent que le pourcentage de travail des enfants atteint 37 pour cent, en plus du rapport officiel publié en 2016 par la Commission nationale des droits de l’homme en Mauritanie, qui indiquait 26 pour cent entre les âges de 15 et 17.
Le travail des enfants présente des risques physiques du fait de leur exposition à un travail pénible qui menace la structure de leur corps et à un travail psychologique qui peut les amener à dévier et affecter négativement leurs études.
Toutes ces conditions les privent de la possibilité d’aller à l’école et ils sont confrontés à avec une réalité misérable dans laquelle ils sont contraints d’endurer les contraintes de ne pas poursuivre prématurément leur parcours académique et sont obligés de combiner deux études.
À force de travail acharné, ils deviennent victimes de l’esclavage moderne et perdent leur avenir.
Fatimetou brahim